« Aller au sacrifice ne peut être qu’une affaire personnelle.
On ne l’exige pas d’une communauté à moins de vouloir sa disparition »
Mais, c’est la volonté de nos élites politiques et religieuses, le Pape François en tête.
Ils ne veulent plus de nous, comme peuples, ils ne veulent plus de nous, comme citoyens, nous sentons le moisi, nous sommes des « has been ». Le blanc c’est monotone, c’est ringard, vive la société colorée, la société métissée, la société multiculturelle.
Remarquez, que seul le continent européen, blanc, aux racines judéo-chrétiennes, dérange et se trouve dans le collimateur de ces grands architectes du nouvel ordre mondial.
Seuls les Européens doivent se diluer dans le melting pot , seuls les Européens n’ont plus le droit d’exister comme tels. Seuls les Européens doivent se sentir coupables, demander continuellement pardon, baisser la tête et faire pénitence, au point de se laisser submerger par des peuples venus d’ailleurs, aux valeurs, aux traditions, aux cultures diamétralement opposées aux nôtres, auxquelles, nous sommes sommés de nous soumettre.
Et ils ne reculent devant rien pour y parvenir : manipulation psychologique, culpabilisation à outrance, accusation d’égoïsme, désinformation continue, abrutissement via des programmes télévisés de plus en plus débiles, nivellement par le bas de nos enfants à l’école, programmes scolaires visant à détruire notre histoire, nos valeurs, nos racines, préférence accordée aux « nouveaux citoyens » à leur histoire, à leur langue, à leurs « valeurs » à leur « religion ».
Répétition en boucle, à longueur de journée que l’immigration est une chance pour l’Europe, une source d’enrichissement incroyable, un apport de main d’œuvre des plus qualifiées, ce dont nous manquons cruellement … selon ces menteurs au pouvoir.
Et le Pape François d’apporter son grain de sel, en insistant sur notre égoïsme, notre indifférence, notre refus du partage…
Aujourd’hui encore, dans son homélie, le Pape François a de nouveau fait la leçon, à ceux qui refusent d’assumer la responsabilité du destin de nombreux réfugiés, tout en exprimant sa grande douleur à l’encontre de tous les réfugiés et parias. Il a comparé le sort des réfugiés à celui du Christ, qui a également souffert de
l’indifférence, car personne ne voulait assumer la responsabilité de son destin. Pour un prêtre, il faut oser la comparaison. A croire qu’il n’a toujours pas saisi, quelle était la mission du Christ sur terre. Après Jésus palestinien, voilà Jésus le réfugié !
Pour nous faire avaler la pilule du remplacement de population, les artisans d’Eurabia ne reculent devant aucun mensonge, aucune menace, aucune culpabilisation, aucun argument, même le plus fallacieux.
Reste à savoir jusqu’où iront-ils pour nous annihiler psychologiquement et pourquoi pas physiquement? S’ils s’imaginent, qu’ils pourront continuer à nous prendre pour des agneaux d’abattoir, ils se fourvoient totalement. Le vent tourne …